Je suis un entrepreneur sportif français, passionné par la robotique depuis enfant,
je créé des systèmes avec l'IA pour faire gagner du temps à mes clients.
Depuis tout petit, j’ai grandi à la campagne, où mes principales occupations étaient de jouer avec des Lego, aider mon père à la ferme ou construire des cabanes dans la foret.
Petit à petit, je construisais, détruisais et recréais de petits véhicules, machines et systèmes tout seul.
Ensuite, une passion pour la robotique m’est venue : c’est alors que j’ai appris l’électronique de base, la soudure et l’impression 3D.
J’ai rapidement ressenti les limites imposées par les aspects physiques du monde : j’ai construit quelques robots Arduino, puis je me suis mis en tête de créer des choses qui pourraient servir à plus d’un seul client.
J’ai donc conçu mes premiers sites internet pour des amis, et j’ai continué sans aucune compétence entrepreneuriale.Par la suite, j’ai préféré revenir à des produits physiques.
J’ai ainsi lancé, avec mon père menuisier, une marque de sport spécialisée dans du matériel de calisthénie.
Grâce à Instagram comme seul canal d’acquisition, cette marque m’a permis de générer mes premiers 10 000 euros simbolique de chiffre d’affaires, avant de me rendre compte une nouvelle fois des limites et contraintes liées à un produit physique.
À l’époque, j’étais toujours en études technologiques, mais tous mes choix de filières préférentielles ont été refusés, même en étant parmi les premiers de la classe.
J’ai alors rejoint une petite école de génie thermique et énergétique pour devenir ingénieur. Un mois plus tard, après avoir consacré beaucoup plus de temps aux mathématiques qu’à l’entrepreneuriat, j’ai compris que ce n’était pas le domaine dans lequel je voulais évoluer.
J’ai donc décidé de consacrer les trois années suivantes à ma mise à niveau professionnelle, pour comprendre, atteindre et dépasser les standards de l’industrie des prestations de service en ligne, tout en prêtant attention aux enseignements de l’école de commerce que j’avais intégrée.
Une fois ces trois années écoulées, je suis parti voyager en Asie. Grâce à mes sites internet en affiliation, à mes prestations de service et à mes infoproduits, pouvant vivre modestement tout en poursuivant ma quête de liberté — pas seulement financière, temporelle ou géographique, mais aussi énergétique.
Cette liberté me pousse à apprendre et à choisir soigneusement les projets dans lesquels j’investirai toute mon énergie, afin de créer quelque chose que les gens veulent réellement.
Aujourd’hui, ce projet s’appelle Ovirank : un écosystème “low human” visant à aider les entreprises à être mieux référencées sur les moteurs de recherche et auprès des IA génératives.
C’est à la fois ma source de plaisir et de douleur, le sens que j’ai choisi de donner à ma vie.
Je pense qu’on ne peut pas vraiment avancer sans s’engager pleinement.
Choisir un projet, c’est choisir de s’y confronter — à ses limites, à ses contradictions, parfois à soi-même.
Tout est temporaire, alors autant accorder son attention à ce qui compte vraiment.
J’ai appris que ce qu’on nourrit de toute son énergie finit toujours par nous transformer, en bien ou en mal.
Et c’est justement là que les choses deviennent intéressantes.
Comme beaucoup, j’ai connu les détours, les refus, les murs. Mais c’est dans ces moments que mes choix se sont clarifiés.
Je ne cherche pas une carrière brillante, mais une trajectoire cohérente. Une vie dense, alignée, exigeante.
Travailler intensément sur un projet qui a du sens, avec des personnes ambitieuses et humaines, c’est pour moi la forme la plus simple et la plus sincère d’épanouissement.
À force de construire, de tomber, de recommencer, je me rapproche d’une certaine idée de la liberté.
Pas celle qui fuit les contraintes, mais celle qui choisit ses contraintes avec lucidité.
La lecture occupe une place importante dans ma vie, voici quelques ouvrages qui m'ont particulièrement inspiré :
Cessez d'être gentil, soyez vrai ! de Thomas D'Ansembourg
Le Petit Prince d'Antoine de Saint-Exupéry
The ONE Thing de Gary W. Keller et Jay Papasan
Making Them Believe de Dan Kennedy
Pensées pour moi-même de Marc-Aurèle